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Des objets miniatures bel et bien évoqués
Il est évidemment utile de s'intéresser aux articles évoquant l'existence actuelle ou à venir de nano-objets pouvant s'apparenter à ceux dont je me plains et ce, à l'aide de moteurs de recherche sur Internet.
Tapez le mot nanosensor, par exemple.
Les articles concernant ce domaine d'étude sont désormais vraiment nombreux et ils avancent depuis des années des réalisations couronnées de succès.
Je citerai deux sources, une en provenance des USA et l'autre de France.
La première évoque, en anglais, les travaux de l'agence pour les projets de recherche avancée de défense, la DARPA (Defense advanced research project agency), un organisme officiel du ministère américain de la Défense : voir l'article(cliquez)
On peut y lire ce passage (article daté du 08 Mai 2012) :
«The proposed DARPA system would work by pumping unimaginably small “nanosensors” into the human body to monitor stress levels, inflammation, diseases, nutrition, and more.»
La DARPA propose ainsi d'injecter dans le corps des "nanosensors" qui auraient une taille "in-imaginablement petite" pour contrôler la santé des soldats.
En faisant preuve d'un peu d'esprit critique, l'on est en droit de penser que la DARPA ne ferait pas de telles annonces si ces objets n'étaient pas déjà au point.
En outre, l'on peut également soutenir que la DARPA n'est pas le genre d'organisme à livrer l'état précis de sa recherche avancée : cela ne se fait pas du tout !
Au contraire dans le domaine du secret, il faut essayer de cacher le maximum de choses et c'est aux services de renseignement de réussir à savoir où en est l'adversaire ou le concurrent.
Cela signifie que non seulement ces nano-objets sont au point mais qu'ils le sont depuis de nombreuses années, ce qui plaide en faveur du non-rejet de mes allégations par utilisation de l'argument que ce que j'évoque est techniquement impossible.
Ensuite :
«One of the emerging technologies highlighted in press accounts about the implants is a tiny robotic device being developed at Stanford University that can be injected directly into the human bloodstream. The wirelessly controlled robot -small enough to go through veins- is reportedly able to perform tasks ranging from medical diagnostics to direct drug delivery.»
Dans cet autre passage, on apprend donc que l'Université Standford développe des nano-robots qui peuvent être injectés directement dans la circulation sanguine (« into the human bloodstream »), qu'ils seraient assez petits pour circuler dans les veines (« small enough to go through veins ») et que l'on pourrait les contrôler et communiquer avec eux sans l'aide de fil ou de câble (« wirelessly ») mais par la voie des ondes -comme avec un réseau wifi.
Ils seraient officiellement là notamment pour établir un diagnostic médical du soldat et délivrer des médicaments dans son corps...
La DARPA s'est aussi intéressé aux implants cérébraux :
«In 2010, DARPA was also working on brain implants that would use light pulses to control brain cells and possibly even re-route or re-organize mental activity. While that system, too, was supposed to be for U.S. troops — particularly those who suffer from traumatic brain injuries — analysts warned that the implications of the technology were frightening.»
La DARPA a travaillé et travaille toujours sur des implants cérébraux pour contrôler l'activité mentale.
Le prétexte est de pouvoir soigner les traumatismes mentaux liés à la guerre mais certains se disent peu convaincus par cet argument.
Les informations sur la DARPA ont été rendues publiques et évoquées par la DARPA elle-même et ont été reprises par de nombreux médias sérieux.
On peut trouver des évocations de tels objets miniatures de la part de nombreuses équipes de chercheurs provenant de plusieurs pays différents.
Ce qui est notable, c'est que la communication sans fil avec les objets miniatures mis dans le corps humain n'est jamais évoquée comme un problème potentiel.
Si le nano-objet est un micro écouteur, il pourrait donc permettre l'écoute à distance.
En France, une association sérieuse, piècesetmaindoeuvre -et c'est ma deuxième source- évoque dans cet article(cliquez) la recherche secrète et l'existence possible de nano-objets et cette évocation tourne également autour de l'équipement du soldat français.
L'article date de janvier 2006 et vous pouvez aussi le sauvegarder, en le téléchargeant au format pdf, en cliquant sur ce lien(cliquez).
Autour du soldat : tiens donc !
Il est notable que les deux sources évoquent la mise au point de nano-objets pouvant fonctionner dans le corps humain dans le cadre de l'équipement futur possible du soldat.
Ainsi je me plains d'objets très spécifiques -assurément !- qui ne peuvent apparemment qu'être le fruit de la recherche secrète militaire tournant autour de l'équipement du soldat et par ailleurs, et cela est particulièrement notable, plusieurs personnes que je mets en cause appartiennent précisément ! à une société connue pour appartenir au domaine en question à savoir celui de l'équipement du soldat !
Il s'agit de la société Paul Boyé (je m'empresse de signaler que cette société n'est pas en cause dans cette affaire).
Une des mis en cause qui logeait dans le même bâtiment que moi et qui ne manquait pas de manifester son appartenance au groupe des auteurs des faits, reconnaissait travailler à Montpellier pour cette société.
Un autre mis en cause a été cadre commercial pour cette société et devait souvent voyager à l'étranger.
Le fait qu'une partie au moins de l'activité de la société Paul Boyé soit soumise au secret-défense est avéré et notoire.
Pour cette raison, ce mis en cause avait inévitablement une habilitation au secret défense.
Comme les auteurs des faits forment une communauté de multiples personnes, j'ai toujours imaginé que leur groupe pouvait avoir une relation particulière avec cette société ou/et qu'un nombre non négligeable d'entre eux pouvaient travailler pour Paul Boyé.
Ce mis en cause logeait dans le même bâtiment que moi quand je logeais en dessous de Mme X. Il ne cachait pas, lui et sa famille, connaître Mme X et les siens.
Aussi, un va-et-vient incessant avait lieu entre l'appartement de Mme X, qui servait d'endroit d'où j'étais vu et écouté, et celui de ce mis en cause.
Lui-même et des membres de sa famille accédaient au logement de Mme X et venaient se mêler au groupe des personnes qui y était présentes car il ne s'agissait pas d'un lieu d'habitation.
Leur comportement durant cette présence ainsi que celle du groupe autour d'eux assurait alors qu'ils me voyaient et m'écoutaient.
Donc je me répète :
Un : je me plains d'une chose très spécifique qui, selon des sources raisonnables françaises et étrangères, ne peut avoir vu le jour que dans le cadre de la recherche secrète militaire tournant autour de l'équipement du soldat.
Deux : des mis en cause désignés par moi font précisément partie d'une société travaillant dans le domaine de l'équipement du soldat et de la recherche secrète.
Trois : un mis en cause désigné par moi (et peut-être deux ou plus), a représenté cette société et a une habilitation au secret-défense.
Sur son site(cliquez), la société Paul Boyé évoque un contrat obtenu avec le Pentagone, le ministère de la Défense américain, et on peut lire :
«Une équipe constituée d'ingénieurs, de docteurs et de techniciens spécialisés en balistique, chimie, nucléaire, ergonomie, toxicologie... permet de répondre de manière pointue, adaptée et novatrice aux problématiques des clients dans un contexte de confidentialité élevée.»
Lorsqu'une société est liée au secret-défense, son respect doit être contrôlé par les services secrets, le contre-espionnage je suppose.
Il n'est pas farfelu d'envisager que les services secrets choisissent de placer des personnes appartenant à leur services à certains postes clef -ici la personne s'en va à l'étranger et négocie des contrats- plutôt que de devoir surveiller en permanence des personnes « civiles ».
Je précise cependant que je ne suis pas défaillant en ne pouvant qu'avancer des affirmations concernant des appartenances aux services secrets.
Je ne suis qu'un simple particulier et je n'aurais pas le droit de posséder des éléments probants prouvant l'appartenance de telles personnes à de tels services.
La société Paul Boyé n'est pas du tout en cause : vraiment rien ne permet de l'impliquer dans les délits commis à mon encontre et sa présence sert surtout à rendre crédible qu'un ou plusieurs mis en cause peuvent bien faire partie des services secrets.
Le fait qu'une société appartenant au domaine de la recherche secrète militaire soit ainsi présente dans mon affaire -par l'intermédiaire des mis en cause- alors même que je me plains d'objets miniatures ne pouvant qu'être issus de ce type de recherches secrètes militaires, est aussi un plus pour mes allégations.
Il est possible cependant que la société Paul Boyé sache que certains de ses employés sont des membres des services secrets français.