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19 novembre 2014 3 19 /11 /novembre /2014 16:28

 

 

Le plan de ce blog se trouve ICI (Cliquez)

 

 

 

Des objets miniatures bel et bien évoqués

 

 

Il est évidemment utile de s'intéresser aux articles évoquant l'existence actuelle ou à venir de nano-objets pouvant s'apparenter à ceux dont je me plains et ce, à l'aide de moteurs de recherche sur Internet.

Tapez le mot nanosensor, par exemple.

 

Les articles concernant ce domaine d'étude sont désormais vraiment nombreux et ils avancent depuis des années des réalisations couronnées de succès.

 

 

Je citerai deux sources, une en provenance des USA et l'autre de France.

 

La première évoque, en anglais, les travaux de l'agence pour les projets de recherche avancée de défense, la DARPA (Defense advanced research project agency), un organisme officiel du ministère américain de la Défense : voir l'article(cliquez)

 

 

On peut y lire ce passage (article daté du 08 Mai 2012) :

«The proposed DARPA system would work by pumping unimaginably small “nanosensors” into the human body to monitor stress levels, inflammation, diseases, nutrition, and more.»

 

La DARPA propose ainsi d'injecter dans le corps des "nanosensors" qui auraient une taille "in-imaginablement petite" pour contrôler la santé des soldats.

 

 

En faisant preuve d'un peu d'esprit critique, l'on est en droit de penser que la DARPA ne ferait pas de telles annonces si ces objets n'étaient pas déjà au point.

En outre, l'on peut également soutenir que la DARPA n'est pas le genre d'organisme à livrer l'état précis de sa recherche avancée : cela ne se fait pas du tout !

Au contraire dans le domaine du secret, il faut essayer de cacher le maximum de choses et c'est aux services de renseignement de réussir à savoir où en est l'adversaire ou le concurrent.

 

 

Cela signifie que non seulement ces nano-objets sont au point mais qu'ils le sont depuis de nombreuses années, ce qui plaide en faveur du non-rejet de mes allégations par utilisation de l'argument que ce que j'évoque est techniquement impossible.

 

 

Ensuite :

«One of the emerging technologies highlighted in press accounts about the implants is a tiny robotic device being developed at Stanford University that can be injected directly into the human bloodstream. The wirelessly controlled robot -small enough to go through veins- is reportedly able to perform tasks ranging from medical diagnostics to direct drug delivery.»

 

Dans cet autre passage, on apprend donc que l'Université Standford développe des nano-robots qui peuvent être injectés directement dans la circulation sanguine (« into the human bloodstream »), qu'ils seraient assez petits pour circuler dans les veines (« small enough to go through veins ») et que l'on pourrait les contrôler et communiquer avec eux sans l'aide de fil ou de câble (« wirelessly ») mais par la voie des ondes -comme avec un réseau wifi.

Ils seraient officiellement là notamment pour établir un diagnostic médical du soldat et délivrer des médicaments dans son corps...

 

 

La DARPA s'est aussi intéressé aux implants cérébraux :

«In 2010, DARPA was also working on brain implants that would use light pulses to control brain cells and possibly even re-route or re-organize mental activity. While that system, too, was supposed to be for U.S. troops — particularly those who suffer from traumatic brain injuries — analysts warned that the implications of the technology were frightening.»

 

La DARPA a travaillé et travaille toujours sur des implants cérébraux pour contrôler l'activité mentale.

Le prétexte est de pouvoir soigner les traumatismes mentaux liés à la guerre mais certains se disent peu convaincus par cet argument.

Les informations sur la DARPA ont été rendues publiques et évoquées par la DARPA elle-même et ont été reprises par de nombreux médias sérieux.

 

 

On peut trouver des évocations de tels objets miniatures de la part de nombreuses équipes de chercheurs provenant de plusieurs pays différents.

Ce qui est notable, c'est que la communication sans fil avec les objets miniatures mis dans le corps humain n'est jamais évoquée comme un problème potentiel.

Si le nano-objet est un micro écouteur, il pourrait donc permettre l'écoute à distance.

 

En France, une association sérieuse, piècesetmaindoeuvre -et c'est ma deuxième source- évoque dans cet article(cliquez) la recherche secrète et l'existence possible de nano-objets et cette évocation tourne également autour de l'équipement du soldat français.

L'article date de janvier 2006 et vous pouvez aussi le sauvegarder, en le téléchargeant au format pdf, en cliquant sur ce lien(cliquez).

 

 

Autour du soldat : tiens donc !

 

Il est notable que les deux sources évoquent la mise au point de nano-objets pouvant fonctionner dans le corps humain dans le cadre de l'équipement futur possible du soldat.

 

Ainsi je me plains d'objets très spécifiques -assurément !- qui ne peuvent apparemment qu'être le fruit de la recherche secrète militaire tournant autour de l'équipement du soldat et par ailleurs, et cela est particulièrement notable, plusieurs personnes que je mets en cause appartiennent précisément ! à une société connue pour appartenir au domaine en question à savoir celui de l'équipement du soldat !

 

Il s'agit de la société Paul Boyé (je m'empresse de signaler que cette société n'est pas en cause dans cette affaire).

Une des mis en cause qui logeait dans le même bâtiment que moi et qui ne manquait pas de manifester son appartenance au groupe des auteurs des faits, reconnaissait travailler à Montpellier pour cette société.

Un autre mis en cause a été cadre commercial pour cette société et devait souvent voyager à l'étranger.

 

Le fait qu'une partie au moins de l'activité de la société Paul Boyé soit soumise au secret-défense est avéré et notoire.

Pour cette raison, ce mis en cause avait inévitablement une habilitation au secret défense.

Comme les auteurs des faits forment une communauté de multiples personnes, j'ai toujours imaginé que leur groupe pouvait avoir une relation particulière avec cette société ou/et qu'un nombre non négligeable d'entre eux pouvaient travailler pour Paul Boyé.

 

Ce mis en cause logeait dans le même bâtiment que moi quand je logeais en dessous de Mme X. Il ne cachait pas, lui et sa famille, connaître Mme X et les siens.

Aussi, un va-et-vient incessant avait lieu entre l'appartement de Mme X, qui servait d'endroit d'où j'étais vu et écouté, et celui de ce mis en cause.

Lui-même et des membres de sa famille accédaient au logement de Mme X et venaient se mêler au groupe des personnes qui y était présentes car il ne s'agissait pas d'un lieu d'habitation.

Leur comportement durant cette présence ainsi que celle du groupe autour d'eux assurait alors qu'ils me voyaient et m'écoutaient.

 

 

Donc je me répète :

Un : je me plains d'une chose très spécifique qui, selon des sources raisonnables françaises et étrangères, ne peut avoir vu le jour que dans le cadre de la recherche secrète militaire tournant autour de l'équipement du soldat.

 

Deux : des mis en cause désignés par moi font précisément partie d'une société travaillant dans le domaine de l'équipement du soldat et de la recherche secrète.

 

Trois : un mis en cause désigné par moi (et peut-être deux ou plus), a représenté cette société et a une habilitation au secret-défense.

 

Sur son site(cliquez), la société Paul Boyé évoque un contrat obtenu avec le Pentagone, le ministère de la Défense américain, et on peut lire :

«Une équipe constituée d'ingénieurs, de docteurs et de techniciens spécialisés en balistique, chimie, nucléaire, ergonomie, toxicologie... permet de répondre de manière pointue, adaptée et novatrice aux problématiques des clients dans un contexte de confidentialité élevée

 

Lorsqu'une société est liée au secret-défense, son respect doit être contrôlé par les services secrets, le contre-espionnage je suppose.

Il n'est pas farfelu d'envisager que les services secrets choisissent de placer des personnes appartenant à leur services à certains postes clef -ici la personne s'en va à l'étranger et négocie des contrats- plutôt que de devoir surveiller en permanence des personnes « civiles ».

 

Je précise cependant que je ne suis pas défaillant en ne pouvant qu'avancer des affirmations concernant des appartenances aux services secrets.

Je ne suis qu'un simple particulier et je n'aurais pas le droit de posséder des éléments probants prouvant l'appartenance de telles personnes à de tels services.

 

 

La société Paul Boyé n'est pas du tout en cause : vraiment rien ne permet de l'impliquer dans les délits commis à mon encontre et sa présence sert surtout à rendre crédible qu'un ou plusieurs mis en cause peuvent bien faire partie des services secrets.

Le fait qu'une société appartenant au domaine de la recherche secrète militaire soit ainsi présente dans mon affaire -par l'intermédiaire des mis en cause- alors même que je me plains d'objets miniatures ne pouvant qu'être issus de ce type de recherches secrètes militaires, est aussi un plus pour mes allégations.

 

Il est possible cependant que la société Paul Boyé sache que certains de ses employés sont des membres des services secrets français.

 

 

deuxième partie(cliquez)

 

 

 

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1 décembre 2011 4 01 /12 /décembre /2011 16:02

 

 

Le plan du blog est ICI(cliquez)

 

 

 

 

 

PHOTO ROGNée

 

Je reconnais que l'évocation de la motivation des membres des services secrets français dans mon affaire est quelque peu stressante.

 

Tout d'abord, il faut bien considérer que leur motivation est comprise dans leurs actes.

Le fait d'introduire des nano-objets dans le corps d'une personne puis de les y utiliser de telle sorte que cette victime ne puisse que finir par prendre conscience de leur présence, c'est très particulier ! Le fait de faire savoir à une personne qu'on l'écoute, qu'on la suit, qu'on viole son domicile et qu'on arrive même à la voir à l'intérieur de ce domicile, c'est à l'avenant !

Ce qu'ils font à mon encontre, sur une aussi longue période de temps, peut recevoir une qualification criminelle et je me plains de tortures et actes de barbarie. Leur motivation est liée à ce que j'appellerai une dépravation pathologique.

 

Notamment, je ne leur ai jamais nui et ne les connaissais pas...

 

J'ai indiqué au juge que leur action me rappelait la phrase : « Ici, il n'y a pas de pourquoi » censée avoir été prononcée par un nazi, je crois, durant la Seconde Guerre mondiale.

Cela semble incommoder certains mais je ne peux que constater que les auteurs des faits, qui représentent pourtant une autorité officielle, les services secrets français, sont complètement fermés moralement, sadiques et psychopathes.

 

A l'ORIGINE, il est possible que ce soit un conflit mineur avec une famille qui a été l'élément déclencheur et qui a attiré l'attention de ces gens oisifs.

Cette famille pourrait faire partie du groupe de ces familles détentrices du pouvoir au sein des services secrets français, l'existence de telles familles étant l'une des révélations de mon affaire. Je serais donc entré en contact, à l'occasion de ce conflit, avec une de ces familles et ce serait là le début des agissements de l'ensemble du groupe à mon encontre.

Je pense également que le fait d'avoir perçu leur existence et leurs actes est devenu une source d'excitation pour eux, après les avoir inquiétés sur le coup.

 

Les auteurs des faits verbalisent et l'on peut donc savoir ce qu'ils pensent.

Je peux ainsi affirmer qu'ils connaissent la norme, ce qui est un élément important dans l'approche de leur psychisme, la norme relativement à ce qui se fait et ne se fait pas, entre le bien et le mal.

Ils sont très conscients de commettre le mal et cela les excite; on peut dire qu'ils le revendiquent. Ils expriment leur joie sadique et leur satisfaction quant à leurs méfaits.

Il est probable que les autorités, judiciaires ici, ne veulent pas entendre de telles affirmations, concernant une autre autorité officielle, mais se voiler la face n'a jamais permis de résoudre un problème. Par ailleurs, il est difficile de ne pas voir dans ce genre d'attitude passive voire complaisante une des cause de la situation décrite : il ne semble y avoir aucun contrôle, interne ou externe, réel et efficace des services secrets français depuis des décennies -ou depuis leur création ?

 

Il s'agit donc avant tout d'un problème de violations de droits de l'homme, en relation avec le comportement fautif de membres dépravés des services secrets français.

L'ampleur des faits, mettant en cause les deux composantes des services secrets français, la DGSE et la DCRI, et surtout leur hiérarchie, autorise à parler de DÉRIVE des services secrets français.

 

 

« Une seule solution, la dissolution ! »

 

Leurs agissements peuvent ainsi être qualifiés de GRATUITS et de « pathologiques », ce qui est très important !

Dans un pays totalitaire, les agissements des services secrets sont plutôt liés à la lutte contre des personnes considérées comme des opposants; en France, un pays supposé être démocratique, les services secrets agissent par désœuvrement, dépravation, pathologie et dans un contexte de surnombre et de moyens financiers et matériels excédentaires détournés à des fins personnelles.

 

C'est la gratuité comme motivation de leurs actions qui impliquera la nécessité de la dissolution des services secrets français ou, à tout le moins, de la partie de ces services à laquelle la majorité des mis en cause appartiennent. A ce sujet cependant, il semble peu probable qu'il y ait une seule branche pourrie à couper; c'est bien plus grave que cela.

Cette dissolution pourrait être obtenue par une décision politique mais également par des jugements de tribunaux. En effet, si la Justice française reconnaît qu'il lui est désormais impossible d'accepter la présence de membres ou de services des services secrets français, à un moment ou à un autre, dans le cours d'une instruction, et ce en raison de l'extrême dépravation qui règne au sein des services secrets français, alors il découlera de la reconnaissance d'une telle situation quelque chose comme « une dissolution de fait » qui ne pourrait que contraindre les autorités politiques à décider d'une dissolution réelle.

Il serait préférable pour la France, son image et son indépendance que la reconnaissance d'une telle situation provienne d'elle-même et ne lui soit pas imposée par les décisions de justice d'une cour supra-nationale.

 

 

« Je veux faire un casse ! » 

 

Il me faut aussi évoquer le fait que les mis en cause ont souvent agi en feignant de me soupçonner de vouloir faire « un braquage » ou, d’une façon générale, d’être vaguement « dangereux » et de devoir ainsi être surveillé… par eux, bien sûr !

Il faut savoir que les mis en cause sont connus d'un grand nombre d'agents de sécurité des magasins : c'est ainsi. Ils vont jusqu'à faire preuve d'une grande connivence avec certains d'entre eux qui, alors, m'importunent ensemble avec eux.

 

Leur façon d'agir à mon encontre pouvait être qualifiée de surveillance hostile. Partout où je me trouvais, ils essayaient de se manifester et de m'importuner, y compris dans des endroits où il n'y avait pas d'argent.

Dans un supermarché, ils avaient choisi de se manifester notamment lors de mon passage à la caisse mais pas uniquement : ils m'importunaient également lors de mes courses dans le magasin.

Le fait est que lors de mon passage en caisse, ils se montraient et faisaient mine d'être tendus et se relâchaient ostensiblement une fois que j'étais passé. Ils agissaient ainsi également lors de la plupart de mes achats, y compris chez des petits commerçants.

A la longue, cela a généré mon énervement et un jour (il y a plus de dix ans), lassé de cette façon d’agir des mis en cause, je m'exclame chez moi, sans témoin : « Je veux faire un casse, oui, c’est ça ! ».

Quelque temps après avoir dit cela, donc, je me rends au supermarché Leclerc de Talence, près de Bordeaux où je résidais, sans plus y penser, pour faire mes courses et, lors de mon passage en caisse, je note un véritable dispositif, à peine discret, autour de moi. Sur le parking se trouve un « panier à salade ».

Il ne se passe évidemment rien et cela étonne manifestement un homme qui se tient à côté d’un autre. Il se tourne vers lui et semble lui demander des comptes; l’autre devient rouge de visage et, énervé, marmotte je ne sais quoi en me montrant du doigt.

Je n’ai pas su profiter de cet incident car, à l’époque, je subissais beaucoup et j’avais du mal à réfléchir correctement. J'ai même été à un moment en régression psychologique. Je vivais en étant vu en permanencechez moi et, comme il a été dit lors de la première émission télévisée où des gens se faisaient filmer en permanence, LOFT STORY en 2001 sur la chaîne M6, il est difficile de penser normalement dans de telles conditions.

Par exemple, ce n'est que plusieurs années plus tard que j'ai pensé que la personne qui demandait des comptes au chef du dispositif était le directeur du magasin. A l'époque, comme il a semblé surpris, je ne pensais pas que cela pouvait être le cas; j'étais dérouté car les mis en cause pouvaient se trouver à l'intérieur du Leclerc en portant des vêtements propres aux employés de ce magasin.

 

Après cet incident au supermarché de Talence, je rentre chez moi avec mes courses puis, quelques minutes ou heures plus tard, j'entends un bruit fort et sec alors que je me trouve précisément sous la douche. Lorsque je finis par sortir pour voir ce qu'il en est, je constate que le pneu de mon vélo a été déjanté et la chambre à air lacérée ensuite : comme elle était gonflée, cela a provoqué ce bruit. L'entaille créée mesure bien six centimètres.

 

J'ai gardé la chambre à air lacérée et vous pouvez ainsi la voir sur la photo ci-dessus.

 

Une de mes deux voisines habitant en-dessous de moi a elle aussi entendu le bruit provoqué par l'éclatement de la chambre à air et a fini par sortir de chez elle; elle a noté l'état de mon vélo mais n'a vu personne. Mon vélo se trouvait dans le couloir commun fermé par la porte d'entrée principale de l'habitation.

 

S'il vient l'idée au lecteur que les mis en cause ou des gens qu'ils auraient plus ou moins « abusés » ont crevé mon vélo pour « sanctionner » le fait que je n'avais pas effectué le casse -j'ai du mal à garder mon sérieux en écrivant cela !- je ne saurais trop quoi répondre...

Les mis en cause semblent aimer abuser les gens puisque j'ai déjà vu des agents de sécurité de magasins agir comme s'ils me soupçonnaient de vouloir commettre une malversation lors du passage en caisse et ce, même dans des magasins où je me rendais pour la première fois; il est possible qu'ils aient « abusé » ce chef du dispositif en lui faisant écouter mes propos et sans en expliquer le contexte.

Dans un même magasin, si tel agent est en place, ils vont s’afficher avec lui et se montrer hardis mais si c’est tel autre, manifestement sérieux et poli, qui travaille ce jour-là, alors ils vont se contenter d’être présent à son insu en tant que pseudo-clients.

 

Pour des raison de crédibilité, je me passerais de tels faits que j'ai hésité à évoquer. Dans le cadre d'une plainte avec constitution de partie civile, cette évocation m'a semblé cependant inévitable.

 

Concernant leur motivation toujours : j'ai dû arrêter de faire du vélo en arrivant à Sète, alors que j'en faisais depuis tout petit, car ils me crevaient les pneus trop fréquemment. Cela avait commencé à Bordeaux avant même la lacération sus-évoquée. A un moment, j'avais trouvé un emploi bien rémunéré et je ne pouvais m'y rendre qu'en utilisant ce moyen de locomotion; les mis en cause cependant le crevaient trop souvent et cela a joué son rôle dans la perte de ce travail.

Ils sont donc défavorables à ce que j'occupe un emploi...

 

 

 

 

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23 juillet 2011 6 23 /07 /juillet /2011 15:33

 

 

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UN FAUX MORT, DES FAUX MORTS

 

Il est donc question dans mon affaire d'une personne officiellement décédée mais qui, en fait, n'est pas morte le jour de son décès officiel. J'appelle cela un faux-mort et il semble bien que les services secrets français pratiquent la fausse mort. On voit ça dans des œuvres de fiction mais, dans la réalité, de tels cas ne sont pas avérés, me semble-t-il.

 

Ce qui s'est produit, c'est que le fils de Mme X, disons Jacques(un pseudo) est officiellement décédé dans un accident de la circulation, en moto.

Le problème, c’est que, à aucun moment, la famille du décédé, réunie dans l’appartement (situé juste au-dessus du mien) pour la circonstance, n’a adopté un comportement compatible avec la réalité du décès. L’appartement a continué, pendant son occupation supposée par les membres de la famille, censés être présents pour le deuil, à servir de lieu d’où j’étais vu, écouté et d’où l’on utilisait les objets miniatures présents dans mon corps.

Un jour, par exemple, dans la pièce située juste au-dessus de ma chambre, où je me trouve alors, la mère de Jacques est censée se lamenter car elle crie en pleurant plusieurs « Jacques… » consécutifs et, au même moment, d’autres personnes présentes dans cette pièce s'amusent et répètent en rigolant « Jacques… », tout en utilisant les objets dans mon corps.

Ils étaient donc décontractés, guillerets et s'amusaient de la douleur supposée de Mme X présente à quelques centimètres d'eux : cette petite comédie m’était manifestement destinée.

Il y a eu plusieurs autres comportements de ce type et d’autres éléments ont levé tout doute au sujet du décédé : il n’y a pas eu décès de Jacques car sa propre mère et sa famille ont agi comme si ce décès était fictif et donc Jacques est un faux mort membre des services secrets français !

Le contexte impose en effet que sa fausse mort soit à mettre en relation avec l'appartenance aux services secrets français de sa mère et du groupe de personnes auquel il appartient.

J’estime donc que Jacques est un faux mort et, intuitivement, je pense possible qu’il en soit de même pour d’autres personnes de son entourage, tous les faux morts étant des hommes à ce jour.

 

Qui dit faux mort dit absence de cadavre du faux décédé.

Enterré initialement dans un village Y de l'Hérault, sa mère affirme que son corps a ensuite été transféré à Sète.

Une identification de son cadavre supposé, s'il en existe un, devrait permettre de constater qu'il ne saurait être celui d'une personne ayant Mme X pour mère. C'est un des actes que je demande au juge d'instruction en charge de mon dossier et qu'il a refusé à ce jour.

 

 

 

LA CONSÉQUENCE : UNE HDT(hospitalisation) DE QUINZE JOURS

 

J'ai parlé à d'autres personnes du comportement anormal de la famille lors du décès et j'ai même essayé d'utiliser l'information -dans mes plaintes, notamment- car il s'agissait possiblement d'une violation du SDN (secret de la défense nationale) i.e. d'une communication d'une information classifiée à une personne (moi) ne disposant pas d'habilitation pour la détenir.

Les mis en cause ont semblé ne pas apprécier mon évocation de la négation du décès de Jacques et sa mère Mme X a alors commencé de se plaindre du vol régulier de son courrier dans sa boîte aux lettres, assortie de sa fracture, répétée malgré sa réparation. Elle a donné à penser qu’elle croyait que j’en étais l’auteur.

Il s’est alors produit ceci, selon ma famille : un voisin a affirmé à ma famille, verbalement et à mon insu, m’avoir vu en train de voler le courrier de Mme X dans sa boîte aux lettres !

Ce « témoin » a nié avoir agi ainsi, à ma sortie de HDT, mais ma famille m’a toujours soutenu que c’était le cas et, de fait, a cru ses affirmations et a donc fini par céder à la pression et a consenti à une HDT (hospitalisation à la demande d'un tiers) dans un centre médico-psychologique. Je précise que j'avais fini par mentionner le nom de ce « témoin », auparavant, dans ma plainte comme faisant possiblement partie du groupe dont je me plains.

 

Le neveu, mentionné dans ma plainte, ment à ma famille et l’oncle rédige le certificat médical.

L'oncle du « témoin » est médecin généraliste et c'est lui qui a rédigé le premier certificat médical exigé par la HDT !!

Il s'est présenté à mon domicile comme « envoyé par le parquet de Montpellier pour trouver une solution juridique » à mon affaire et non comme un médecin. Le lendemain de sa visite, les pompiers sont venus me chercher pour l'hospitalisation, moins de trois mois après la fausse mort, donc.

Son certificat médical comporte une redite, ces deux phrases : « désir de vengeance contre les voisins » et plus loin « veut se venger sur les voisins ». Or, ces affirmations sont sans fondement : vouloir obtenir réparation et cessation des délits commis à son encontre en saisissant la justice, ce n'est pas vouloir « se venger ». Parmi « les voisins », terme très général qui englobe tout le monde, son neveu qui affirme pendant ce temps-là et opportunément à ma famille qu'il m'a vu voler le courrier de Mme X et fracturer sa boîte aux lettres.

 

 

Torturé !

 

Je ne veux pas en rajouter mais le fait est que, durant mon hospitalisation de quinze jours, j'ai été torturé, ce mot me semblant adéquat et non exagéré et ce, en raison d'une trop forte dose de médicaments et compte tenu également de mon état de fatigue lié à ma situation. Ce séjour m'a également traumatisé.

Le fait est que dans le cadre d'une simple hospitalisation de quelques jours, on peut, en France, se faire torturer légalement !

Qu'est-ce que cela doit être pour les personnes subissant des séjours plus longs, de plusieurs mois voire même de plusieurs années ! 
Et les auteurs de ces tortures agissent en toute impunité...

 

A ma sortie, je me suis renseigné sous un faux prétexte auprès de deux psychiatres et les deux ont reconnu que la dose prescrite était excessive. De surcroît, ces médicaments sont censés lutter contre des hallucinations mais je n'ai jamais eu la moindre hallucination de ma vie et personne ne peut affirmer le contraire !

Le raisonnement des psychiatres a été que mes allégations étaient hors normes, que la technologie des objets miniatures n'existait pas, et, par voie de conséquence, que je devais avoir des hallucinations mais il est tout de même exigible qu'un témoin puisse attester de la réalité de ces hallucinations : c'est un minimum !

 

Il est à noter que la fausseté de l'hypothèse des hallucinations est établie car -outre que l'hypothèse d'hallucinations diverses et incessantes ne tient pas (j'y reviendrai)- certains effets de l'utilisation des objets miniatures dans mon corps sont perçus de façon similaire par d'autres personnes de mon entourage ayant elles aussi de tels objets dans leur corps, utilisés de la même façon.

A partir du moment où aucune hallucination n'a jamais été présente dans mon histoire, ce que recherchait concrètement les psychiatres durant mon hospitalisation, ce n'était pas la cessation de ces hallucinations inexistantes, c'était en fait que je cesse de formuler mes plaintes : « Cessez de mettre en cause des membres des services secrets français et nous dirons que vous êtes guéri » était le sens de leur action, de mon point de vue.

Par ailleurs, vouloir que je cesse de soutenir mes allégations, c'est essayer de me faire perdre toute raison puisque ces allégations sont fondées...

Cela me fait personnellement penser aux méthodes pratiquées par certains pays totalitaires.

 

Ce qui est choquant chez les psychiatres, c'est leur absence totale de compétence technique; qu'ils pensent à telle pathologie peut se comprendre mais ils devraient posséder la capacité leur permettant ensuite de vérifier ou d'infirmer leurs hypothèses.

Or ce n'est pas le cas; une fois effectué leur petit raisonnement, il n'y a plus rien. Sans exagérer, au lieu de quinze jours, j'aurais pu rester un mois, des mois ou des années et à aucun moment il n'y aurait eu de mise en œuvre d'une quelconque compétence.

 

En tant que représentant d'une compétence (en dehors de celle, fort mal maîtrisée, d'administrer des médicaments), ils n'existent pas !
Ce sont des zéros et je suis le premier à le regretter car je préfèrerais qu'ils soient capables de différencier le psychisme d'une personne malade de celui de quelqu'un qui ne l'est pas : cela m'arrangerait beaucoup !
En fait, ils fonctionnent comme un pouvoir plutôt que comme des représentants d'une compétence.

 

Au passage, comme j'ai demandé et reçu un formulaire de demande d'aide juridictionnelle durant mon séjour, en vue de contester cette HDT, la psychiatre en charge de mon dossier, Mme G, m'a caché, avec la complicité d'au moins un infirmier, qu'elle avait transformé mon HDT en « séjour libre » deux jours avant ma sortie ! Histoire de pouvoir dire par la suite, en cas d'action en justice, que j'étais consentant. C'est ce qu'elle a précisément affirmé à plusieurs reprises dans mon dossier médical, indiquant clairement que je souhaitais me faire soigner, sans se soucier de vraisemblance puisque mon hospitalisation a été sous contrainte !

Primum non nucere (« d'abord, ne pas nuire ») est pourtant censé être un des préceptes de la médecine française.

 

De telles affirmations sont dangereuses, irresponsables et particulièrement mal venues dans ma situation, opposé que je suis aux services secrets français et c'est la raison pour laquelle je tiens à les évoquer et à les nier fermement.

 

Je me suis aussi rendu compte que Mme G était la véritable instigatrice de mon HDT et qu'elle avait menti à des membres de ma famille pour essayer de les abuser, certains étant des personnes assez simples; ayant appris l'existence de mes affirmations, elle n'a cessé de les relancer et, en fait, de les importuner, pendant un an. Connaissant cette situation, les mis en cause lui ont donné un petit coup de pouce, avec l'invention du vol du courrier de Mme X. Dans mon dossier médical figure une lettre que Mme G a adressé au couple neveu/oncle et elle les remercie « pour tout ce que vous avez fait pour lui », lui étant moi.

C'est assez ambigu car, à ma connaissance, la seule chose qu'a fait le neveu, c'est mentir à ma famille, son oncle, quant à lui, rédigeant un certificat médical mensonger visant à me faire considérer comme dangereux (« veut se venger ») et éventuellement à indiquer que mes plaintes relèveraient d'une volonté de nuisance pathologique.

 

 

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24 juin 2011 5 24 /06 /juin /2011 15:04

 

 

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Ce que dit la science

Je rappelle que le mot nanotechnologie a été employé pour la première fois en 1974 et que les publications scientifiques sur ce sujet foisonnent désormais.

Voilà ce que déclarait le Professeur François Berger, directeur du laboratoire Nanomédecine et cerveau de l'Institut de neurosciences de Grenoble, il y a déjà plusieurs années, devant des parlementaires français :

« Nous sommes capables aujourd'hui d'injecter dans le sang des nanoparticules multifonctionnelles afin qu'elles atteignent le cerveau. Demain, nous pourrons les stimuler de l'extérieur. » Il parle du cerveau car c'est son domaine d'étude.

 

Je me plains précisément de ce genre de choses : « multifonctionnelles », pouvant circuler dans le sang -seule explication au fait que j'en ai absolument partout dans mon corps- et pouvant « être stimulées de l'extérieur ». Je pense qu'elles sont introduites en les mélangeant à la nourriture de la victime.

Il est raisonnable d'envisager que la recherche secrète soit en avance sur la « civile »; lorsque la NASA a rendu public certains résultats de ses recherches, c'est ce qui a pu être constaté.

 

 

CE DONT JE ME PLAINS

 

Je me plains d'individus qui aiment bien manifester l'état de fait suivant : ils m'écoutent, me suivent et même me voient dans mon propre logement. C'est ce qu'ils font précisément.

Il est facile d'attirer l'attention d'une personne et de lui faire comprendre qu'on la suit (ou qu'on la précède et l'attend dans le lieu où elle va). De surcroît, ils se sont mis à effectuer, en ma présence et à mon intention, des répétitions de propos ayant été tenus dans le cadre de ma vie privée, quelques instants ou plusieurs jours auparavant. Je pense également qu'ils violent fréquemment mon domicile, laissant parfois des traces de ces violations, tout cela traduisant une mentalité bien particulière.

 

Ils me voient, je le suppose, à l'aide de caméras extrêmement miniaturisées, comme il en existe de nos jours. Elles sont très difficiles à trouver en raison de leur taille, leur partie apparente (la tête) ayant une taille minuscule qui les rend invisibles à l'œil nu et ce, depuis de nombreuses années déjà. La romancière Patricia Cornwell est une bonne source d'informations au sujet de ce genre de technologie.

Je les ai cherchées à l'œil nu à une époque où j'ignorais qu'elles avaient une telle petitesse mais, à l'heure actuelle, il ne fait plus aucun doute qu'il existerait un fort problème de sécurité me concernant, si je détenais des preuves contre eux.

 

J'ai déjà essayé de leur demander directement des comptes et ils ont toujours fait mine de ne pas comprendre ce dont je parle; il est de toute façon rapidement apparu qu'il s'agissait de gens malintentionnés et délinquants.

J'ai évidemment déménagé mais cela n'a jamais changé grand-chose dans leur façon d'agir et ils sont toujours parvenus, au bout d'un certain temps, à occuper à nouveau un logement proche du mien.

Ce qu'il font également, c'est utiliser les objets miniatures dans mon corps tout au long de la journée, ce qui atteste de leur présence proche de moi.

 

Les objets sont aussi utilisés pour me priver de sommeil, de façon importante, et je peux avancer que cela fait plusieurs années maintenant que je n'ai pas pu passer une seule nuit, sur les 365 que compte chacune de ces années,sans que leurs utilisateurs m'empêchent de dormir entièrement de mon sommeil naturel. Cela étant affirmé sans la moindre exagération.

Cette privation de sommeil m'empêche de mener une vie un tant soit peu normale et d'occuper un emploi.

 

Lorsque je suis venu dans une ville proche de Montpellier, dans l'Hérault(34), une certaine Mme X a occupé un logement situé au-dessus du mien, d'où j'étais vu et écouté et d'où les objets miniatures furent utilisés pour la première fois de telle façon que je ne pouvais que finir par me rendre compte de leur présence dans mon corps. Et c'est dans ces conditions que s'est produit un faux décès, celui du fils de cette Mme X (voir cet article) car il y a en effet au moins un faux-mort dans cette affaire.

 

Un point très important est, donc, qu'un certain nombre d'entre eux se laissent identifier.

Comme ils ne peuvent qu'appartenir aux services secrets français, en raison de la présence des objets miniatures dans cette histoire, je peux ainsi affirmer détenir plusieurs identités de membres des services secrets français, tous non connus comme tels.

 

Ces appartenances peuvent être vérifiées, en quelques minutes selon certains, et une vérification positive tendrait à prouver que mes allégations sont sérieuses et qu'il y a donc lieu d'instruire ma plainte.

On peux toujours m'objecter que les services secrets français pourraient mentir au sujet de ces appartenances mais, concernant de multiples individus, un tel mensonge peut s'avérer difficile à réaliser et à tenir.

Cela va assez loin puisqu'à l'heure actuelle, je peux me montrer catégorique et dire que je suis vu et écouté de tel logement précis et par tels occupants ou que telles autres personnes font partie du groupe des auteurs des faits.

Il est déjà arrivé à certains de vociférer de leur propre appartement des propos ayant été tenus dans mon logement quelques secondes plus tôt. Ce que les auteurs des faits aiment (beaucoup) effectuer également, ce sont des synchronisations.

 

Plusieurs centaines de victimes ?

Ce qu'ils font encore, c'est utiliser de façon discrète les objets miniatures dans le corps d'autres personnes que je suis amené à côtoyer, au sens large de ce terme, lorsque celles-ci se trouvent proches de moi. Il est évident qu'en agissant ainsi, ils m'informent qu'ils utilisent ces objets de façon massive et qu'ils en disposent en très grand nombre. Il est tout à fait possible d'utiliser ces objets de manière à créer des effets que la victime n'aura aucune chance d'interpréter comme l'utilisation d'objets miniatures dans son corps. C'est d'ailleurs ainsi qu'ils ont agi pendant plusieurs mois me concernant.

 

Les auteurs des faits apparaissent donc comme des gens désœuvrés, dépravés, voyeurs et sadiques et il semble qu'ils passent une partie de leur temps à violer le domicile des gens, à y placer des caméras miniatures et à introduire des objets miniatures dans le corps de simples particuliers auxquels ils ne reprochent rien (via leur nourriture).

Je peux citer un nombre non négligeable de victimes autour de moi et il est logique d'imaginer qu'ils pratiquent cette façon d'agir partout où ils se trouvent et que donc il existe au bas mot plusieurs dizaines de victimes dans toute la France.

 

 

SYNCHRONISATIONS.

 

Ce que font les auteurs des faits peut apparaître comme singulier et cette singularité m'est ensuite parfois reprochée comme étant fantaisiste et farfelue, de sorte que la description des actes des mis en cause s'avère problématique et stressante. Je suis obligé de me censurer à son sujet.

 

Une synchronisation consiste, pour les mis en cause, à se manifester simultanément à des événements, au sens large de ce terme, se produisant dans mon appartement ou ailleurs.

 

Je prends un exemple(ancien) : lorsque j’éteins ma télévision pour la dernière fois, le soir, immédiatement un mis en cause sort de son appartement puis de notre bâtiment, prend sa voiture et s’en va. J’ai constaté à un moment donné qu’il devait bien agir ainsi au moins quatre fois par semaine, ce qui donnait deux cents fois par an cette synchronisation précise.

Le propre d’une synchronisation est que sa répétitivité débouche sur sa prévisibilité, qui en constitue un caractère important, et, au final, c'est moi qui peut la commander en effectuant l'acte qui sert à la déclencher.

 

Ce qui amuse les auteurs des faits, c'est de manifester, en agissant ainsi, le fait qu'ils me voient et m'écoutent dans mon logement.

Cela constitue une des singularités de leur esprit tordu et c'est ainsi : ils adorent synchroniser !

 

Dans le cas sus-cité, il se trouve que des membres de la famille agissant ainsi ont déjà effectué un grand nombre d'actions permettant de les considérer comme étant en cause; ils ont notamment vociféré certains de mes propos de leur logement, comme indiqué plus haut.

Cependant, certains mis en cause ne le sont(en cause) uniquement en raison d'un grand nombre de synchronisations, prévisibles et commandables, qui signifient qu'ils appartiennent au groupe des auteurs des faits.

Il peut aussi y avoir synchronisation en voiture : devant traverser à tel endroit chaque jour, la même voiture va se retrouver à passer devant moi au moment en question et ce, un trop grand et anormal nombre de fois.

 

Ils aiment bien synchroniser sur le début ou la fin d'une de mes activités. A un moment donné, un mis en cause sortait de chez lui chaque fois que, dans une plage horaire donnée, je terminais un surf sur le web. Il s'est amusé à agir ainsi pendant plusieurs mois presque tous les jours ! Durant tous ces jours, c'est moi qui ai commandé sa sortie de son domicile, en cliquant sur la croix située en haut et à droite de la fenêtre mon navigateur !

 

Avant de m'installer dans l'Hérault, j'habitais une maison partagée en plusieurs locations à Bordeaux et les mis en cause, déjà, avaient réussi à occuper un de ces logements. Cette synchronisation était alors effectuée : lorsque j'ouvrais les yeux pour la première fois, le matin, un des auteurs des faits sortait immédiatement de son logement en claquant sa porte puis sortait de la maison en claquant la porte d'entrée, la rouvrait aussitôt et retournait chez lui.

 

A l'heure actuelle, cette synchronisation sur la première ouverture de mes yeux est encore parfois pratiquée.  

Il y a donc là une unité de comportement : les mis en cause constituent une communauté d'individus ayant une mentalité en commun, aussi tordue et farfelue soit-elle. En fait, ils donnent un peu l'impression de fonctionner comme une secte en ce sens que leur communauté semble avoir une frontière bien nette, qu'ils respectent et qui les sépare du reste des personnes.

 

 

 

DES FAMILLES; APPARTENANCE DE FAIT.

 

Les gens que je mets en cause ne sont pas des individus isolés mais au contraire constituent des familles, au sein desquelles tout le monde (les mineurs à partir d'un certain âge) est au courant des actions effectuées à mon encontre et y participent !

Mon affaire permet ainsi de découvrir l'existence d'une appartenance familiale aux services secrets français et surtout d'une transmission héréditaire de cette appartenance.

Je parle là d'appartenance de fait et pas obligatoirement officielle. Connaître l'existence de la technologie des objets miniatures, l'utiliser ainsi que d'autres technologies, accéder aux lieux d'où je suis vu, côtoyer des membres officiels des services secrets français en sachant qui ils sont, être au courant de l'existence de faux morts, bénéficier de l'argent (détourné de son attribution) excédentaire du budget des services secrets français, etc. Tout cela me semble pouvoir être qualifié d'appartenance de fait.

Il est probable que quelques personnes au sein de ces familles font partie officiellement des services secrets français, les autres n'y appartenant que de fait seulement.

Il est possible que ces familles constituent un noyau dur au sein des services secrets français, lequel serait ainsi composé d'un nombre non négligeable de personnes ne faisant même pas partie officiellement de ces services !

 

 

SUBVOCALISATIONS.

 

Ce que l'on appelle des subvocalisations, ce sont des propos articulés mais inaudibles car trop faiblement émis; un peu comme de faibles murmures.

Or il existe une gradation dans la faiblesse des subvocalisations et il arrive (fréquemment) que l'on subvocalise ainsi sans s'en rendre compte, en croyant uniquement penser ce que l'on subvocalise très faiblement.

Lorsque les auteurs des faits ont effectué en ma présence et à mon intention des répétitions de ces subvocalisations très faibles, j'ai eu l'impression, dans un premier temps, qu'ils me jetaient à la figure mes propres pensées : je n'avais en effet aucun souvenir d'avoir verbalisé ces pensées !

Mais cette impression a été de courte durée. J'ai vite compris ce qu'il en était et j'ai ensuite pu effectuer des tests : subvocaliser très faiblement des propos précis et retenus par moi, à l'intention des mis en cause, et les entendre ensuite, comme prévu, répétés par eux.

 

Le fait est que les objets miniatures -qui dans le corps humain, peuvent se retrouver à n'importe quel endroit et donc au niveau du fond de la gorge et au niveau des cordes vocales- permettent d'entendre la moindre de ces subvocalisations et que la plupart d'entre nous subvocalisent un certain nombre de nos pensées sans même s'en apercevoir.

 

 

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24 juin 2011 5 24 /06 /juin /2011 14:54

 

 

Le plan de ce blog se trouve ICI(cliquez)

 

 

 

 

LES NANOTECHNOLOGIES SONT UTILISÉES

PAR LES SERVICES SECRETS DES PAYS

AVANCÉS DEPUIS DES ANNÉES !

 

 

 

Depuis plus de quinze ans.

 

Je suis bien placé pour en parler car je me plains précisément d'avoir ce que l'on pourrait appeler des nano-objets partout à l'intérieur de mon corps, ma plainte avec constitution de partie civile étant en cours de traitement par la Justice française, laquelle se hâte très lentement...

 

La recherche secrète des pays avancés est particulièrement performante et est en avance de plusieurs années sur la recherche « civile », dans des domaines spécifiques. La miniaturisation est galopante de nos jours et il est évident que la recherche prioritaire de micros (permettant l'écoute) de plus en plus petits a joué son rôle; ce qui a été obtenu, ce sont des micros de taille microscopique pouvant être introduits dans le corps humain et y fonctionner.

Recherchant cela, la puissance de la recherche secrète -qui accapare certains surdoués de génie, comme le prouve l'affaire Gareth Williams- a mis au jour des nano-objets ayant différentes fonctions et pas seulement celle de micro écouteur, leur taille leur permettant de passer dans les capillaires, qui sont les vaisseaux les plus fins de l'organisme.

D'ailleurs, dans les années 80, l'information de l'existence de micros pouvant être introduits dans le corps humain et y fonctionner, en les mélangeant à la nourriture de la victime et à son insu, a été évoquée. A son insu, en raison de leur taille, laquelle leur permet de passer inaperçus dans une assiette et dans les aliments qu'elle contient !

Et il ne s'agit pas là d'une exagération.

 

 

Voici un extrait de ma lettre de plainte.

« (…) je me plains précisément de l’utilisation de tels objets miniatures à l’intérieur de mon corps. C'est leur utilisation, à l'endroit de mon corps où ils se trouvent, qui me permet de l'affirmer.

Certains des objets en question peuvent émettre des sons, aussi incroyable que cela soit, et ils sont ainsi utilisés, tous les jours depuis des années, dans la sphère ORL et sur la trajectoire de la nourriture au moins, de l'œsophage au rectum. Ils fonctionneraient comme un récepteur radio dont la source d'émission serait aux mains des auteurs des faits, qui les utiliseraient à distance de moi.

  [Par déduction, je suis en mesure d'affirmer que] certains de ces objets sont des micros qui permettent d'écouter.

Je me plains également de l'utilisation d'autres objets miniatures -à moins qu'il ne s'agisse du même type d'objet, ce que j'ignore. Ceux-la se trouvent partout dans mon corps, c'est leurs utilisations journalières qui me permettent de l'affirmer. Partout où va le sang, serais-je tenté d'écrire, car c'est le sang qui circule dans l'intégralité du corps humain.

Cela suggère l'hypothèse que ces objets circuleraient dans le corps en utilisant les vaisseaux sanguins, peut-être après avoir été mélangés à la nourriture de la victime, à son insu, et être passés dans la circulation sanguine.

Ce sont donc leurs utilisations quotidiennes dans mon corps qui me permettent de soutenir ce qui suit.

Certains peuvent créer une sensation de battements ou de "présence". Ce qui peut être imaginé est que leurs utilisateurs appuieraient sur un bouton, par exemple, et relâcheraient ensuite, à plusieurs reprises, ce qui donnerait cette impression de battement ; ils peuvent aussi créer des sensations de douleur ou de démangeaison ou de picotement ou de piqûre ou de froid ou de chaud, etc.

Plus grave, ils peuvent stimuler les fibres musculaires; par exemple, ils ont déjà été ainsi utilisés pour faire fléchir mon pouce, à plusieurs reprises. »

« Je trouve sensé d'imaginer que les auteurs des faits, utilisateurs des objets miniatures, appartiennent aux services secrets français, pour une partie d'entre eux au moins, en raison de l'inexistence, officiellement, de ces objets miniatures dans le "monde civil".

J'ignore si le ministère de l'Intérieur effectue des recherches secrètes mais c'est, en revanche, bien le cas du ministère de la Défense. Il est sensé également d'imaginer que certaines recherches secrètes spécifiques de ce ministère sont en avance, ici de plusieurs années, sur la recherche "civile". »

 

 

Cette détention par différents services n'a pas à être passée sous silence et négligée comme elle l'est de nos jours, d'autant plus qu'elle date de plus de quinze ans.

C'est oublier bien vite, en effet, que ce type de service a toujours eu un côté obscur et a toujours été perçu à raison comme ayant une activité malhonnête, renfermant en son sein des gens particulièrement dépravés.

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